ART et ARCHITECTURE : TRANSFORMATIONS Des PAYSAGES dans le DEPARTEMENT de la MEUSE
LES ARCHIVISTES NE SONT PAS DES PUITS DE SCIENCE . . JE ME CONSIDERE COMME UN PETIT ENFANT PERTURBE PAR LE DIVORCE DE SES PARENTS . EN 1972 MON MAITRE DE STAGE A CAEN , + GILDAS BERNARD , POUR QUI J ' AI CONSERVE AFFECTION ET ESTIME , S ' ETRIPAIT AVEC + MICHEL DUCHEIN , CHEF DU " SERVICE TECHNIQUE A PARIS . LE SECOND REFUSAIT D ' IMPRIMER LE " GUIDE " REDIGE PAR LE PREMIER . JE SECOND ACCUSAIT DONC LE PREMIER D ' ETRE UN SIMPLE PRATICIEN INCOMPETENT . LE PREMIER QUALIFIAIT LE SECOND DE THEORICIEN FUMEUX . L ' ARCHIVISTE DE DAKAR JEAN - FRANCOIS MAUREL NOUS EMMENAIT DANS SA PETITE 2 CV A SAINT - LOUIS - DU - SENEGAL . MICHEL DUCHEIN A L ' AVANT ACCROCHA MON REGARD DANS LE RETROVISEUR POUR ME DIRE : " IL ( GILDAS BERNARD ) N ' A AUCUN SENS ADMINISTRATIF . IL A EMMENE SES EMPLOYES VISITER UN AUTRE DEPARTEMENT SANS PREVENIR MLLE SIMONE RUMEAU ( = la sous - directrice ) ; COMMENT AURAIT - ON FAIT EN CAS D ' ACCIDENT ? ) . ................................. EN FAIT C ' EST L ' ARCHIVISTE DE DAKAR , + JEAN - FRANCOIS MAUREL , QUI DETENAIT LA VERITE : IL M ' EXPLIQUA PLUS TARD QUE LORS DU DEMENAGEMENT DES ARCHIVES DE SAINT- LOUIS A DAKAR , IL ETAIT TELLEMENT SUBMERGE PAR LE TRAVAIL QU ' IL TENAIT EN MANGEANT DES BANANES ECRASEES DANS DE LA POUDRE DE CAFE . C ' EST CE REGIME QUE J ' AI ADOPTE ENSUITE PENDANT LE RESTE DE MA CARRIERE , AYANT LA CHANCE D ' ÊTRE NE DANS UNE ILE , LA REUNION , OU SUCRE ET CAFE NE MANQUAIENT PAS .
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